Les 8 erreurs fatales à ne pas commettre en postulant a un MBA

Les Ecoles de Commerce d’Elite ont des taux d’admission très réduits. Pour chaque étudiant admis à Harvard il y a 9 autres dont l’inscription est refusée. Le fait d’être admis à un programme de MBA devient de plus en plus difficile. Mais la bonne nouvelle est bien que la majorité des candidats commettent pratiquement les mêmes erreurs ; et être informé à ce propos au préalable pourra vous aider à faire augmenter vos chances.

En voici quelques astuces qui vous permettrons de mettre votre demande sur la bonne voie et de bien cibler vos zones d’appuis:

Les 8 erreurs fatales à ne pas commettre postulant a un MBA

1-Présenter une vision de carrière loin de votre expérience actuelle et celle préalable :


Le facteur majeur pour l’obtention d’un MBA est de vous servir d’appuis pour votre carrière. Mais convaincre votre école que vous pouvez participer à une action à but non lucratif après avoir travailler dans une banque d’affaire a Londres est loin d’être facile. Le seul point à défendre est de pouvoir avoir un bon boulot après l’obtention de votre diplôme.

2-Effectuer une recherche superficielle pour les Ecoles de Commerce :


Avant de vous précipitez à élaborer votre demande, posez vous d’abord LA QUESTION : Suis-je sûr de bien choisir mon éventuelle école ? Me suis-je vraiment pas influencé (e) par le classement de cette école ? Le classement constitue un bon point de départ qui est trop générique et qui ne peut toujours pas répondre à vos exigences personnelles. L’ampleur de votre recherche pourra vous aider non seulement à faire la différence entre les divers programmes MBA, mais aussi à élaborer vos projets. Exploitez toutes les ressources possibles et imaginables : les sites des écoles, les interviews avec les Doyens, les réseaux sociaux des anciens élèves. Votre application doit contenir tous les détails tels que les modules optionnels que vous voulez prendre et qui peuvent renforcer vos connaissances et les clubs que vous voulez éventuellement intégrer.

3-Ne pas être suffisamment préparé (e) pour le GMAT :


Le score du GMAT est un facteur déterminant dans la procédure de choix des écoles. Pas mal de candidats prennent à la légère la préparation au GMAT sans prendre en considération l’importance du procès de candidature. La majorité des écoles les mieux cotées ont une moyenne d’accès qui varie entre 670-730. Ainsi une approche disciplinée pour la préparation au GMAT doit être adoptée. Il est donc conseillé de laisser un laps de temps pour refaire le test au cas où votre moyenne au premier test soit insatisfaisante. Il est ainsi conseillé de demander de l’aide à un ami ou à un prof de GMAT. Il est primordial de bien se préparer préalablement à l’examen, car se concentrer sur plusieurs fronts : GMAT ou GRE, la préparation de l’essai et former plusieurs chances de leadership vous déconcentrera et vous fera perdre le tout.

Il est clair que la procédure de sélection des écoles est principalement basée sur le score du GMAT, mais on entend toujours parler de cas miracle où le candidat a intégré Harvard avec 580, c’est probablement que cette personne a un profil favorable sur touts les fronts ce qui a fait ignorer son score défavorable. Il est un peu absurde de croire que vous allez avoir la même chance, car cela arrive à un cas sur 100000 (ceux qui réussissent avec 100 points de moins que la moyenne habituelle d’accès) Vous devez utiliser votre score au GMAT ou GRE comme échelle pour décider le bon bouquet d’écoles que vous ciblez. A prioris si vous décidez d’opter pour une école bien cotée avec un score moyen , considérez vous comme un candidat avec un score médiocre.

4-Opter pour une école qui ne répond pas aux exigences de votre carrière en vue :


Des écoles comme Stanford ou IESE ne sont pas faites pour tout le monde car elles peuvent ne pas vous offrir ce que d’autres- avec des scores d’accès plus réduits- peuvent le faire et qui ira avec votre carrière envisagée. Ces dernières vous donneront un horizon plus large sur les plans académique et socioculturel.

5-Mal écrire son curriculum vitae :


Evitez de mentionner toutes et chaque tâche que vous avez accomplîtes et tous les programmes que vous maitrisez afin d’impressionner votre interlocuteur. Donnez juste l’extrait, le changement que votre présence a créé au sein de l’organisme ; ne vous vantez pas ; fournissez des données claires et nettes ainsi que des preuves tangibles : des augmentations d’achats et de nombres de clients, des chutes dans le nombre des réclamations client, des sauts dans les scores de satisfaction. Votre efficacité, votre esprit de leadership, votre esprit d’équipe, votre travail en solitaire au cas de nécessité sont des points essentiels à mentionner sur votre résumé.

6-Choisir vos recommandations en se basant sur la fonction de ses signataires :


Si vous avez une bonne relation avec le PDG de votre boite et qu’il vous fasse une lettre de recommandation est un très bon point, mais vous pouvez opter pour un recommandant qui est un simple cadre et qui a beaucoup d’estime pour vous est beaucoup mieux ; Les écoles de top ont beaucoup de DG et de PDG comme anciens élèves. Un PDG de plus n’est pas vraiment impressionnant pour elles.

7-Se sous-estimer et se faire perdre dans la foule :


Beaucoup de personnes ont des carrières dans des domaines plus au moins prestigieux et hauts placés, les postulants pour les écoles de commerce ont tendance a écrire à propos de leur travail, mais ils ont aussi tendance à oublier que nous tous connaissons qu’aux deux premières années de travail, presque, aucun de nous a eu la chance d’être dans un poste de commande et que nous avons fait partie d’une équipe avec des tâches accordées. N’essayez pas de vous démontrez comme leader ou ayant poste clé au sein de votre boite car c’est loin d’être convaincant ; donnez vous, plutôt, l’image de quelqu’un de motivé ayant le sens de la sincérité, de l’efficacité, une touche d’humour fera l’affaire.

8-Etre un prototype :


Il n’est pas vraiment nocif – bien qu’il est primordial- de citer toutes vos réussites sur le plan professionnel et personnel, mais vous devez tisser un bon lien entre elles, car les Ecoles doivent vous connaitre (Oui vous avez entendu cette expression mille et une fois, mais pour une seule raison « c’est la réalité ! ») vos curriculums vont être lus pas des gens comme nous et non par des machines binaires. Mettez vous en tête que ce jury a lu 36000 CV, le votre doit être un fait marquant.

Auteur : Réussir le gmat

blank

Laisser un commentaire